[Chronique] L'homme qui était tout une guilde à lui tout seul

Hellooooo !


  Alors, comme je vous le disais lundi, je n'ai pas tellement lu (enfin, c'est surtout que j'en lis deux d'un coup) et je trouvais ça pas top pour ma chronique qui allait être... ben vide quoi. Alors pourquoi pas la faire sauter ? Ma chronique n'est pas une crêpe. Du coup, je vais vous parler d'autre chose :D

  J'aimerais vous parler un peu de Split, recommandation cinématographique de ma maman. OMG ce film m'a fait rêvé ! Pas le genre de rêve où l'on aimerait être dedans, être à la place d'un des personnages. Non. La spectatrice (et amatrice de belles images) a été ravie par ce qui est passé devant ses yeux. Attention, je dois vous prévenir que c'est un film est assez violent, voire explicite, gore.


  Oui, bon, c'est bien beau tout ça. Mais de quoi ça parle ?
  Et bien, c'est l'histoire de trois filles, dont une qui fête son anniversaire, qui croisent la route de Kevin sur le chemin du retour. Seulement, Kevin est atteint de trouble dissociatif de l'identité: il a en lui 23 personnalités. Rien que ça. Et bien entendu, la rencontre se fait à l'aube de l'éveil de la 24ème personnalité, qui n'est pour ainsi dire pas très recommandable.



  Alors, vous vous doutez bien qu'à partir de là, les trois nenettes vont vivre un calvaire. Il y a peu de personnages dans ce film (si l'on met de côté Kevin et ses 22 amis) et les cadrages sont minimalistes dans un décor qui ne l'est pas forcément. Personnellement, c'est quelque chose que j'apprécie. Surtout quand c'est bien fait.
  Et puis je dois absolument vous dire que les acteurs sont magiques ! Pour moi, James McAvoy c'est le professeur Xavier jeune (X-men). Quel choc de le voir aussi bon et violent à la fois ! Il m'a envoyé du rêve, un régal. Quant aux filles, elles sont toutes bien, surtout Anya Taylor-Joy qui campe un personnage blessé. Le reste du casting est vraiment bon aussi.


  Il faut aussi savoir que c'est un spinoff d'Incassable (avec Bruce Willis, entre autres) et que je ne vous en dirais pas plus parce que... je ne l'ai jamais vu. Oui, j'ai un peu honte. Mais je compte y remédier bientôt.

  Je n'ose pas vous en dire plus, je ne sais pas trop parler film/série étant donné que c'est rare que j'en parle... Et je ne veux pas spoiler, vous comprenez.
  Mais bref, j'ai vraiment aimé ce film, mon chéri aussi et merci maman pour la découverte !



  Et puis j'ai découvert il y a longtemps déjà The Guild, websérie de Felicia Day sur des gamers. Comme j'ai récemment lu ses mémoires, je me suis lancée dedans. Pour de vrai cette fois-ci, parce que ce n'est pas mon premier coup d'essai. Je l'avais gardé dans un coin de ma tête pour la regarder plus tard.


  Au tout début, je dois reconnaître que j'ai eu un peu de mal à me mettre dedans. Et puis bon, il n'est pas rare qu'un début de série soit longuet le temps de se mettre en place. Et c'est exactement ce qui s'est passé. J'ai adoré la fin de la première saison.


  Je les regarde petit à petit, au milieu de mes abonnements Youtube. Du coup, je pense qu'il va me falloir un bon moment pour terminer le tout. Mais je ne suis pas pressée.


On sent bien la série à tout petit budget (oh! il faut absolument que vous lisiez son livre si cette série vous intéresse!) et pourtant c'est bien ficelé. Et l'équipe nous prouve que la récup a vraiment du bon.

  Et le truc que je trouve génial: cette série n'est pas spécialement destinée aux gamers eux-même. Tout le monde peut tenter le coup et se taper une bonne marrade sur The Guild. Fun fact: mis à part Felicia Day, les acteurs ne jouent pas aux jeux vidéo, dans la vie je veux dire. Alors c'est dire ;) Et pourtant, c'est bien foutu.

  La série joue beaucoup sur les stéréotypes. Je pense que c'est ce qui m'a fait un peu rebuter au début. Mais après coup, j'ai pu retrouver la caricatures de personnes que je connais ou que j'ai connu via les jeux en lignes type World of Warcraft (le jeu de la série, je n'y ai jamais touché). Preuve que ce n'est pas abusé. Et puis, faut reconnaître aussi que c'est la caricature qui engendre de bons gags.


  Le hic, parce qu'il y en a un et pas des moindres pour un pays francophone: c'est en anglais. Il y a une tripotée de sous-titres, mais pas en français. C'est un peu dommage, mais si vous comprenez l'anglais ou si vous souhaitez le travaillez, alors je vous encourage à y jeter un œil. ;)



Voilà, c'est tout pour aujourd'hui. J'espère que cet article un peu (complètement) différent vous aura plu.


Je vous dis à bientôt !

=)

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